samedi 28 janvier 2012

Une curiosité kitsch sur les Baléares


La fête se prépare
Ecoute les guitares
C’est le bal
Le bal aux Baléares
Les masques de soie noire
Sourient aux dominos
C’est le bal
Le bal au bord de l’eau
Une fièvre bizarre
De notre cœur s’empare
A l’appel
Du bal aux Baléares
Que de jolies histoires
Que de charmants duos
L’amour chante
Au bal au bord de l’eau

Sous les palmes blondes
Allons danser là-bas
Il y a tant de monde
Que nul ne le saura

Ecoute les guitares
Qui chantent dans le soir
C’est le bal
Le bal aux Baléares
La plage se chamarre
D’un millier de flambeaux
C’est le bal
Le bal au bord de l’eau
Déjà sans le vouloir
Je suis en ton pouvoir
Sous le ciel
Ardent des Baléares
Ah! qu’il fait bon ce soir
Danser les yeux mi-clos
Dans tes bras
Au bal au bord de l’eau
Plus joli qu’un rêve
Ce beau roman d’amour
Lorsque la nuit se lève
En moi revit toujours

L’écho d’une guitare
Qui chante dans le soir
C’est le bal
Le bal aux Baléares
Un baiser qui s’égare
Un tendre domino
C’est le bal
Le bal au bord de l’eau
Si vous rêvez un soir
De vivre mon histoire
C’est facile
Au bal des Baléares
Il n’est jamais trop tard
Pour prendre le bateau
Venez vite
Au bal au bord de l’eau
Baléares

Activités pour le mardi 7 février, parce que la semaine prochain il n'y aura pas de cours.

Bon jour a tous.
Le jeudi 26 Février nous avons fait la lecture du résumé et du thème du rhinocéros qui est á la page 60 et nous avons lu aussi l'extrait de la pièce du theatre dont l'auteur est Eugene Ionesco.
Nous avons fait concernant ces lectures les exercices 1 et 2 de la page 61.
On a travaillé un peu de vocabulaire sur la presse et puis on doit faire chez nous les exercices 1 et 2 de la page 34 du cahier d'activités.
On a fait aussi l'ego questionnaire entre tous.
Nous avons commencé a faire l'exercice 1 de la page 62 pour le prochain jour.

vendredi 27 janvier 2012

Je veux

Je suis accro d'elle!


Donnez moi une suite au Ritz, je n'en veux pas !

Des bijoux de chez CHANEL, je n'en veux pas !
Donnez moi une limousine, j'en ferais quoi ? papalapapapala
Offrez moi du personnel, j'en ferais quoi ?
Un manoir a Neufchatel, ce n'est pas pour moi.
Offrez moi la Tour Eiffel, j'en ferais quoi ? papalapapapala

Refrain:
Je Veux d'l'amour, d'la joie, de la bonne humeur, ce n'est pas votre argent qui f'ra mon bonheur, moi j'veux crever la main sur le coeur papalapapapala allons ensemble, découvrir ma liberté, oubliez donc tous vos clichés, bienvenue dans ma réalité.

J'en ai marre de vos bonnes manières, c'est trop pour moi !
Moi je mange avec les mains et j'suis comme ça !
J'parle fort et je suis franche, excusez moi !
Finie l'hypocrisie moi j'me casse de là !
J'en ai marre des langues de bois !
Regardez moi, toute manière j'vous en veux pas et j'suis comme çaaaaaaa (j'suis comme çaaa) papalapapapala

jeudi 26 janvier 2012

Éducation sentimentale - Maxime Leforestier



Ce soir à la BRUNE
Nous irons ma BRUNE
Cueillir des serments,
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les coeurs d'enfants.
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux ;
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux...

Demain à l'aurore
Nous irons encore
Glaner dans les champs,
Cueillir des promesses
Des fleurs de tendresse
Et de sentiment.
Et sur la colline
Dans les sauvagines
Tu te coucheras,
Dans mes bras, ma brune
Eclairée de lune
Tu te donneras.

C'est au crépuscule
Quand la libellule
S'endort au marais,
Qu'il faudra, voisine
Quitter la colline
Et vite rentrer.
Ne dis rien, ma brune
Pas même à la lune
Et moi, dans mon coin,
J'irai solitaire
Je saurai me taire
Je ne dirai rien...

Ce soir à la brune
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les coeurs d'enfants
Pour toi, ma princesse
J'en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux...

Manau - la tribu de Dana

mardi 24 janvier 2012

Activités pour la semaine prochaine

1. Faire les exercices concernant les pronoms en/y de la grammaire (le livre rouge): 136-139. Révisez les exercices sur l'imparfait et le passé composé (26-33) et ceux du subjonctif (62-67).

2. De vos cahiers d'activités: Page 64 (1), page 66 (5), pag 68 (4 et 5) et il faut remettre l'exercice 5 de la page 71.

Horaire examens oraux 24 janvier

Xisca Amer - Margarita Mut: 17-17h10
Aina Llabrés - Abdeselam Hamed: 17h10-17h20
Victoria Ferrer - Marga Clar: 17h20-17h30
Juan Ortiz - Susanna Alenya; 17h30-17h40
Jesús Antoni Jiménez - Juan (pour accompagner Jesús: 17h40-17h50

vendredi 20 janvier 2012

L'oiseau et l'enfant - Marie Myriam




Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la Terre
Vois comme le monde, le monde est beau

Beau le bateau, dansant sur les vagues
Ivre de vie, d'amour et de vent
Belle la chanson naissante des vagues
Abandonnée au sable blanc

Blanc l'innocent, le sang du poète
Qui en chantant, invente l'amour
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour

Jour d'une vie où l'aube se lève
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde d'amour

L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi

Moi qui ne suis qu'une fille de l'ombre
Qui voit briller l'étoile du soir
Toi mon étoile qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir

Noire la misère, les hommes et la guerre
Qui croient tenir les rênes du temps
Pays d'amour n'a pas de frontière
Pour ceux qui ont un cœur d'enfant

Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la Terre
Nous trouverons ce monde d'amour
L'amour c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi

lundi 16 janvier 2012

Ma liberté

Ma liberté
Longtemps je t'ai gardée
Comme une perle rare
Ma liberté
C'est toi qui m'as aidé
A larguer les amarres
Pour aller n'importe où
Pour aller jusqu'au bout
Des chemins de fortune
Pour cueillir en rêvant
Une rose des vents
Sur un rayon de lune

Ma liberté
Devant tes volontés
Mon âme était soumise
Ma liberté
Je t'avais tout donné
Ma dernière chemise
Et combien j'ai souffert
Pour pouvoir satisfaire
Tes moindres exigences
J'ai changé de pays
J'ai perdu mes amis
Pour gagner ta confiance

Ma liberté
Tu as su désarmer
Mes moindres habitudes
Ma liberté
Toi qui m'as fait aimer
Même la solitude
Toi qui m'as fait sourire
Quand je voyais finir
Une belle aventure
Toi qui m'as protégé
Quand j'allais me cacher
Pour soigner mes blessures

Ma liberté
Pourtant je t'ai quittée
Une nuit de décembre
J'ai déserté
Les chemins écartés
Que nous suivions ensemble
Lorsque sans me méfier
Les pieds et poings liés
Je me suis laissé faire
Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière

Et je t'ai trahie pour
Une prison d'amour
Et sa belle geôlière

Notre chanson du deuxième quadrimestre

Avez-vous déjà pensé aux chansons que vous proposerez pour le deuxième quadrimestre?
J'attends vos suggestions avec impatience!

L'Orage, Georges Brassens



Georges Brassens, 1960.
L'ORAGE

Parlez-moi de la pluie et non pas du beau temps,
Le beau temps me dégoûte et me fait grincer les dents,
Le bel azur me met en rage,
Car le plus grand amour qui me fut donné sur terre
Je le dois au mauvais temps, je le dois à Jupiter,
Il me tomba d'un ciel d'orage.

Par un soir de novembre, à cheval sur les toits,
Un vrai tonnerre de Brest, avec des cris de putois,
Allumait ses feux d'artifice.
Bondissant de sa couche en costume de nuit,
Ma voisine affolée vint cogner à mon huis
En réclamant mes bons offices.

"Je suis seule et j'ai peur, ouvrez-moi, par pitié,
Mon époux vient de partir faire son dur métier,
Pauvre malheureux mercenaire,
Contraint de coucher dehors quand il fait mauvais temps,
Pour la bonne raison qu'il est représentant
D'une maison de paratonnerre."

En bénissant le nom de Benjamin Franklin,
Je l'ai mise en lieu sûr entre mes bras câlins,
Et puis l'amour a fait le reste!
Toi qui sèmes des paratonnerres à foison,
Que n'en as-tu planté sur ta propre maison?
Erreur on ne peut plus funeste.

Quand Jupiter alla se faire entendre ailleurs,
La belle, ayant enfin conjuré sa frayeur
Et recouvré tout son courage,
Rentra dans ses foyers faire sécher son mari
En me donnant rendez-vous les jours d'intempérie,
Rendez-vous au prochain orage.

A partir de ce jour je n'ai plus baissé les yeux,
J'ai consacré mon temps à contempler les cieux,
A regarder passer les nues,
A guetter les stratus, à lorgner les nimbus,
A faire les yeux doux aux moindres cumulus,
Mais elle n'est pas revenue.

Son bonhomme de mari avait tant fait d'affaires,
Tant vendu ce soir-là de petits bouts de fer,
Qu'il était devenu millionnaire
Et l'avait emmenée vers des cieux toujours bleus,
Des pays imbéciles où jamais il ne pleut,
Où l'on ne sait rien du tonnerre.

Dieu fasse que ma complainte aille, tambour battant,
Lui parler de la pluie, lui parler du gros temps
Auxquels on a tenu tête ensemble,
Lui conter qu'un certain coup de foudre assassin
Dans le mille de mon coeur a laissé le dessin
D'une petite fleur qui lui ressemble.